Perpignan
l’arabe ? la gitane ? la catalane ? la pied-noire ? ...
et appel à un rassemblement autour de représentants des familles touchées par les assassinats de l’OAS
l’hommage aux assassins de l’OAS a pu se dérouler, le 7 juin 2006, en dépit des demandes d’interdiction
à propos du projet de mémorial des disparus d’Algérie
le 16 mars 2007, le collectif diffuse une importante déclaration
manifestation silencieuse des opposants au projet de la municipalité
après avoir reçu une délégation du collectif opposé au projet d’un « centre de la présence française en Algérie », le maire de Perpignan reste sur ses positions
un collectif d’associations demande l’interdiction de la cérémonie, le déplacement dans un lieu privé de la stèle élevée à la gloire des tueurs de l’OAS, et appelle à une contre-manifestation
mercredi 6 juin à 18 h, le préfet des Pyrénées-Orientales a interdit la manifestation pro-OAS, comme le demandait un collectif d’associations
la fédération nationale des Cercles algérianistes annonce pour le dimanche 25 novembre l’inauguration de ce mur dont le principe même est constesté par des historiens
le 7 juin 2007, l’Adimad n’a pu tenir à Perpignan son rassemblement annuel d’hommage aux assassins de l’OAS
l’hommage à l’OAS prévu pour le 7 juin 2007 a été interdit ; cependant la stèle a été souillée ...
polémique autour d’un monument aux victimes du FLN
les opposants au projet de musée à la gloire de la colonisation demandent à bénéficier d’un droit de réponse
تكريماً لكلّ ضحايا حرب الجزائر
un bel hommage à Albert Camus, lors d’un colloque franco-algérien, alors que l’écrivain est l’objet d’une tentative de récupération de la part des nostalgériques
deux communiqués pour dire l’inquiétude suscitée par la prochaine inauguration d’un “Mur des disparus” à Perpignan
le résultat d’un choix partisan au service d’une mémoire respectable mais particulière
les médias algériens très attentifs au débat qui se développe en France
communiqué du collectif “Non au musée à la gloire de l’Algérie Française”
le collectif expose ses revendications
des cinq membres de la famille Donnat figurant sur les plaques de Perpignan, quatre sont bien vivants, et le dernier, Gaston, était un militant anticolonialiste
l’objectif essentiel du mur des disparus était d’instrumentaliser les mémoires
encore heureux qu’à Perpignan les bulletins de vote en papier n’aient pas été remplacés
par des ordinateurs de vote
la perpétuation d’un savoir-faire artisanal dans le domaine de la fraude électorale
un système qui, depuis un demi-siècle, reposait sur le clientélisme municipal en faveur de certaines catégories de la population
une cérémonie d’hommage aux “fusillés de l’Algérie française” est une forme d’apologie de crime de guerre
après l’interdiction de la manifestation d’hommage à l’OAS à Perpignan, la LDH rappelle ses demandes
le collectif de Perpignan rappelle qu’il demande au maire de faire déplacer la stèle OAS dans un espace privé comme le TA de Marseille vient de l’ordonner pour celle de Marignane
un arrêté préfectoral interdit toute manifestation au cimetière du Haut-Vernet
la préfecture des Pyrénées-orientales a interdit tout rassemblement près du cimetière du Haut-Vernet
le collectif de Perpignan demande que cette stèle qui « porte atteinte à la neutralité des cimetières », soit déplacée vers un lieu privé
dans une ville dont les édiles entretiennent la nostalgie de la période coloniale
et une nouvelle stèle d’hommage à l’Algérie française à Fréjus
ou comment Perpignan est devenue une des capitales de la “nostalgérie”
la préfecture avait interdit toute manifestation ou rassemblement
un entretien avec Roger Hillel