Les exactions : torture, viols, exécutions extrajudiciaires
seul officier supérieur à avoir condamné ouvertement cette pratique pendant la guerre d’Algérie
la torture pendant la guerre d’Algérie
Condamnation en appel du général pour diffamation, le 15 octobre 2004 : il avait traité de « menteur » un ancien appelé d’Algérie qui avait témoigné sur la torture durant le conflit.
la Justice française rappelle que la torture est une atteinte à la dignité humaine universellement réprouvée.
la cour d’appel confirme cependant la peine infligée à un ancien caporal qui l’avait accusé de faire l’apologie de la torture
le général Schmitt, à nouveau confronté à la torture, a été relaxé en appel
un témoignage accablant pour le général Schmitt
Pierre Vidal-Naquet protesta en 1962 contre les tortures infligées à des membres de l’OAS
« J’ai moi-même procédé à des exécutions sommaires... »
ce que fut la répression à Santiago du Chili nous renvoie à celle d’Alger
la publication d’un dossier constitué à partir de lettres qu’il avait adressées à ses proches eut un retentissement considérable en 1957
le cinquantième anniversaire du début de ce que les Français désignent par la “bataille d’Alger” est passé inaperçu en Algérie
28 janvier 1957 : coup d’envoi de la « sale guerre » de l’armée française contre les indépendantistes algériens
Henri Alleg : « il continue à se vanter de ses crimes ».
entre impossible oubli et mémoire impossible de cette « guerre sans nom », les récits des appelés de la guerre d’Algérie
vingt-cinq ans après : réflexions sur un retour
« Aucune circonstance exceptionnelle, quelle qu’elle soit, [...] ne peut être invoquée pour justifier la torture. »
la torture était l’arme-clé de cette guerre
un documentaire réalisé en 2002, où André Gazut dénonce la pratique de la torture par l’armée française pendant la guerre d’Algérie
... elle n’a rien d’une bavure de la guerre, ni d’une fatalité
Henri Alleg : “une victime qui a vaincu la torture”
après avoir signé le manifeste des 121, Alain Resnais dénonçait la torture en Algérie
connaître le passé afin de nous connaître aujourd’hui
47 ans après, elle raconte l’enfer qu’elle a vécu dans un centre de torture militaire à Alger.
7 janvier 1957 : 8 000 parachutistes, commandés par le général Massu, entrent dans Alger ...
les vrais auteurs du crime, c’était les politiques
il faudra encore du temps pour prendre la mesure de ce qui s’est passé en Algérie