Les pieds-noirs « nostalgériques »
Le peuplement de l’“Algérie française” s’est fait par assimilation de populations venues de toute l’Europe.
À propos de l’ouvrage « Pieds-noirs, mémoires d’exils », de Michèle Baussant, Stock, 468 p.
Le risque est de vouloir réécrire l’histoire telle que, eux, voudraient la voir écrite
Un entretien avec la politiste Emmanuelle Comtat
Ils étaient partis dans la panique en 1962, des pieds-noirs reviennent à Alger sur les traces de leur passé magnifié.
Les rapatriés spoliés réclamaient plus de 12 milliards d’euros à l’Algérie.
comment la vision pied-noir de l’histoire franco-algérienne a survécu à la fin de la colonisation
Et pourtant, il n’y a vraiment pas de quoi nous glorifier de notre passé colonial en Algérie.
Selon le tribunal correctionnel de Toulon, injurier quelqu’un en prétextant son origine rapatriée d’Afrique du Nord peut être considéré comme du racisme.
L’historien Alain Ruscio, spécialiste de la colonisation française, apporte un soutien paradoxal aux pieds-noirs, « victimes du colonialisme ».
Les associations d’extrême droite qui utilisent la mémoire comme une arme ne peuvent prétendre représenter l’ensemble des pieds-noirs.
L’assemblée générale constitutive s’est tenue à Vitrolles (13), le samedi 8 novembre 2008
Une cinquantaine des membres de l’association des « pieds noirs progressistes et de leurs amis » se sont retrouvés à La Ciotat le 3 octobre 2009, pour la première assemblée générale de l’association
Une association qui milite pour la réconciliation
Selon une responsable de l’association Harkis et droits de l’Homme, un film empreint de préjugés « toujours vivaces sur la période coloniale ».
“Le Ravi” de février 2012 se penche sur la “nostalgérie” en Paca
Le vote pied-noir n’existe pas, mais les politiques le savent-ils ?
La “droite décomplexée” va-t-elle poursuivre le travail de réhabilitation de l’Algérie française ?
Une association de Pieds-Noirs qui portent témoignage sur ce que fut la colonisation en Algérie
Déclaration d’intention des membres fondateurs de l’ANPNPA du 8 novembre 2008