Algérie : les affrontements des années 1990
la partie du dernier chapitre de l’ouvrage de Marie-Monique Robin
Escadrons de la mort, l’école française qui concerne l’Algérie des années 1990.
par Nassera Dutour, porte-parole du Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie.
communiqué de presse d’Amnesty International
à Paris le 24 septembre, à Marseille le 26 et à Toulon le mardi 27 septembre.
Non à l’oubli et à l’impunité. Oui à la Vérité et à la Justice.
tout débat sur le conflit civil est muselé par des sanctions pénales.
nul ne peut disposer du pouvoir d’effacer l’histoire ; il ne peut y avoir de paix et de réconciliation sans vérité ni justice
au lendemain de la signature par l’Algérie de la convention sur les disparitions forcées ...
entre 1992 et 1997 des milliers de personnes ont été enlevées, la plupart par les services de sécurité, certains par des groupes armés islamistes ; le sort de beaucoup d’entre eux reste inconnu à ce jour ; Mohamed Smaïn, dirigeant de la LADDH explique les rouages de l’oubli
les autorités algériennes tentent de mettre fin aux rassemblements organisés chaque mercredi depuis douze ans
rassemblement devant l’Ambassade d’Algérie à Paris, mercredi 25 août 2010, de 17h30 à 19h30
elles demandent Vérité, Justice et Réparation pour les disparus
il s’est déroulé sans violences policières
le pouvoir persiste à vouloir occulter les crimes de la “décennie noire”
contre les atteintes aux droits économiques, sociaux et culturels, alors que le rapporteur des Nations Unies sur le respect de la liberté d’opinion et d’expression achève sa visite en Algérie
ne pas sacrifier les droits de l’Homme sur l’autel des transactions économiques
à l’appel de la Coalition d’associations de victimes des années 1990, samedi 8 octobre 2011, à partir de 15h : Belleville / Place de la République
Khaled Nezzar, l’homme fort du pouvoir algérien de la décennie 1990
pour sa recherche inlassable de la vérité sur le sort de 7 000 hommes et femmes disparus en Algérie
Patrick Baudouin : “L’omerta est totale en Algérie sur les crimes de la décennie noire”
l’État algérien doit entendre les demandes des familles de disparus
interdiction de rassemblements de familles de disparus des années 1990
le respect des droits de l’Homme doit devenir une question centrale
volte face du Parquet général qui s’oppose à la tenue rapide d’un procès qui devait se tenir en France sur le fondement de la compétence extraterritoriale
une sortie de crise en Algérie ne peut occulter la question de la place et du rôle de l’armée