1962, la fin de la guerre d’Algérie
Le gouvernement a décidé, le 17 septembre 2003, que la « journée nationale d’hommage aux morts pour la France en Afrique du Nord » aurait lieu le 5 décembre.
« Il ne suffit pas d’établir des vérités pour que les mémoires cessent de saigner »
ils souhaitent massivement fixer la journée nationale du souvenir des victimes de la guerre d’Algérie au 19 mars, anniversaire du cessez-le-feu de 1962
du cessez-le-feu en Algérie à la déclaration d’une « intervention en Libye »
pourquoi la fin de cette guerre a-t-elle été si tragique ?
Delphine Renard dit sa révolte devant les « attentats à la vérité » commis, aujourd’hui, au plus haut de l’État
une oranaise, façonnée par les deux rives
le colloque de Nice du 11 février 2012 a eu lieu comme prévu – un succès
l’association au nom de laquelle une demande d’annulation du colloque de la LDH lui a été adressée existe-t-elle vraiment ?
dans une démocratie, il incombe aux pouvoirs publics de veiller au respect de la liberté d’expression à Samatan, à Nîmes ou à Évian
pressions gouvernementales sur la liberté des historiens
l’Association les amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons s’insurge contre les atteintes à la liberté d’expression
il se tiendra comme prévu les 10 et 11 mars prochains
les “non-dits” d’une guerre qui n’était pas reconnue comme telle
“sortir de la guerre d’Algérie : regards croisés, regards apaisés”
deux attentats particulièrement sanglants, dont l’assassinat de 6 inspecteurs des centres sociaux-éducatifs
pour l’historienne Claire Mauss-Copeaux, c’est l’Histoire qui permettra de parvenir à cet apaisement
“les Algériens doivent apprendre et connaître l’histoire de leur
pays, telle qu’elle a été et non comme ils souhaiteraient qu’elle soit”
hommage à toutes les victimes de la guerre d’Algérie
sa communication au colloque d’Évian en mars 2012
l’historien Yann Scioldo-Zürcher montre que face au traumatisme qu’ils ont vécu, ils bénéficièrent de nombreuses mesures facilitant leur intégration en métropole
des interventions ont permis de sortir de la “vision sacralisante” de l’histoire
pour contribuer à une mémoire chorale de cette guerre
des interventions de Malika Rahal et de Gilles Manceron
Madjid Benchikh et Mohammed Hachemaoui : “Qu’a-t-on fait de l’indépendance ?”
rendre hommage à tous les anonymes tombés des deux côtés
n’ayant pu se déplacer à Alger pour participer au colloque organisé par El Watan du 5 au 7 juillet 2012, l’historien a fait parvenir sa contribution
cinquante après la fin du conflit armé, il est temps que la France reconnaisse et assume son passé colonial
colloque organisé à Ouzellaguen les 12 et 13 juillet 2012
octobre-novembre 2012 : une programmation centrée sur l’Algérie au Théâtre Liberté
en réaction à une demande algérienne de reconnaissance des crimes du colonialisme français
comment les habitants de Paris ont-ils vécu la guerre d’Algérie ?
il faut agrandir l’histoire de France : l’histoire des Maghrébins doit en faire partie
le comité régional PACA de la LDH proteste par un communiqué
« Il faut dépasser le discours abstrait de dénonciation du colonialisme », par Benjamin Stora
19 mars 2016 : l’hommage du président Hollande aux victimes de la Guerre d’Algérie
une tribune des historiens Mohammed Harbi et Gilles Manceron
deux interviews : une donnée par Benjamin Stora, suivie d’une autre donnée par Gilles Manceron
54 ans après la signature des accords d’Évian, des hommes et des femmes tentent de lancer des passerelles au-dessus de la Méditerranée