1945-1962
un « événement marquant de la vie d’un petit enfant insouciant »
le témoignage d’un ancien appelé, encore blessé par ce qu’il a vécu au cours de la guerre d’Algérie
pour comprendre ce qui nous arrive aujourd’hui, il faut relire de façon critique ce que nous avons fait hier
cinquante ans après, il a revu les lieux de ses anciennes infirmeries de Kef Lahmar et des Arbaouat, et quelques-uns de ses anciens patients
la Cour européenne des droits de l’homme condamne la France, au nom de la liberté d’expression, dans l’affaire qui l’opposait aux éditeurs du livre où le général Aussaresses évoque et justifie la torture
par son discours du 16 septembre 1959, de Gaulle lève l’ambiguïté de son attitude face au conflit et lâche le mot tabou d’ « autodétermination »
le recours à l’internement, versant policier de la guerre, pour tenter de neutraliser les nationalistes algériens et leurs sympathisants
dans leur grande majorité, les appelés du contingent ont, activement ou passivement, refusé de suivre ceux de leurs chefs qui ont voulu s’engager dans le putsch
le comportement des appelés pendant la guerre d’Algérie a été très variable, selon la prise de conscience, la situation, les événements...
c’est le mot d’« honneur » qui revient sous la plume de qui essaie d’évoquer leur action
rencontre, samedi 13 avril 2013, à l’Institut du monde arabe
l’engagement, les combats d’un instituteur de la République, adversaire résolu de la colonisation
un entretien avec Michel Lambart, vice-président de l’association “Les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs compagnons”
le parcours d’un berger des montagnes de Kabylie devenu instituteur « indigène »
les politiques doivent reconnaître leur responsabilité dans la conduite de la guerre d’Algérie dont ils s’étaient déchargés sur les militaires
il y a 57 ans, le 11 février 1957, Fernand Iveton était guillotiné
en 1961, plus des deux tiers des enfants algériens n’étaient pas scolarisés
Une fiction existait : l’Algérie était française...
un quarteron de généraux en retraite tente de prendre le pouvoir à Alger, pour s’opposer à la politique algérienne du général de Gaulle.
de 1954 à 1962, au nom de la lutte contre la “subversion” du FLN, au nom du rattachement de l’Algérie à la France qui interdisait d’y appliquer le droit de la guerre et de considérer les nationalistes comme des combattants, la justice française prononça plus de 1 500 condamnations à mort
un hommage de Gilbert Meynier à Charles-Robert Ageron
et quelques chiffres concernant la scolarisation à l’époque de l’Algérie coloniale
pratiques et usages de la photographie pendant la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962)
l’historien évoque son parcours dans l’Algérie des années 1948-58
Sylvie Thénault publie un nouvel ouvrage traitant des idées reçues sur la guerre d’indépendance algérienne